Stationnement sur trottoir à Ramersdorf : le différend sur les nouvelles interdictions de stationnement s'intensifie !
À Ramersdorf, Munich, le débat sur le stationnement sur les trottoirs et les nouvelles interdictions de stationnement provoque un conflit. Les citoyens réclament une révision.

Stationnement sur trottoir à Ramersdorf : le différend sur les nouvelles interdictions de stationnement s'intensifie !
Il y a actuellement des discussions animées sur le stationnement sur trottoir à Munich, notamment dans le quartier de Ramersdorf. Des analyses récentes de MVG montrent que les lignes d'autobus 155 et 199 traversaient mieux le quartier lorsque les véhicules étaient garés d'un côté du trottoir. L'étude a comparé plusieurs phases, dont les horaires de stationnement réguliers et l'introduction d'interdictions de stationnement. Il est intéressant de noter que c’est un stationnement adéquat dans la rue qui a causé le plus de perturbations et de retards dans les autobus.
L'analyse MVG a révélé que les restrictions de stationnement réduit réduisaient les embouteillages et les temps de trajet, mais pas au même niveau que le stationnement sur trottoir. Cette situation place les habitants dans un dilemme : tandis que certains critiquent la nouvelle réglementation parce qu'elle désavantage les commerçants et les services de livraison, d'autres voient la nécessité de réduire la pression sur le stationnement.
Différend sur les interdictions de stationnement et la pression sur le stationnement
Les plaintes s'accumulent et les citoyens s'indignent des nouvelles interdictions de stationnement. Le comité de quartier a déjà transmis les préoccupations des habitants au service mobilité. De nombreuses personnes réclament une révision des interdictions de stationnement et suggèrent de permettre le stationnement sur les trottoirs à certains endroits. Un résident remarque même que les trottoirs sont 20 centimètres plus larges que ce qui est officiellement annoncé et qu'il n'y a aucun obstacle dessus.
Le problème du stationnement à Munich n’est pas nouveau. Le Mercure rapporte que le conseil municipal souhaite se prononcer sur la suppression des places de stationnement sur trottoir le 19 février. Environ 500 rues sont concernées et la discussion sur une solution radicale est débattue de différentes parts. Le stationnement sur les trottoirs est toléré à Munich depuis des décennies, mais le service de la mobilité envisage désormais une stratégie claire pour maintenir les trottoirs dégagés.
Mesures prévues pour réduire les places de stationnement
Dans le cadre d'un plan en trois points, des dépliants informatiques sur les nouvelles interdictions de stationnement seront distribués. Par ailleurs, des contrôles et des amendes comprises entre 55 et 70 euros sont prévus par la police et le contrôle routier municipal. Des mesures structurelles, telles que la fixation de supports métalliques, devraient également contribuer à la mise en œuvre de la nouvelle réglementation.
Les opinions controversées des habitants se reflètent également dans la réaction aux changements prévus. Alors que certains réclament plus de places de stationnement, d’autres s’opposent à l’implantation du stationnement sur trottoir. Les factions politiques SPD et CSU sont divisées dans leurs positions et retardent ainsi les décisions. Il existe également déjà un certain nombre de nouvelles zones de stationnement autorisées qui augmentent la pression du stationnement dans le centre-ville.
Suite aux derniers travaux de rénovation effectués dans le cadre de la décision vélo, des places de stationnement supplémentaires seront perdues, comme par exemple 120 dans la Fraunhoferstrasse. L'Allemagne du Sud informe que même si l'objectif n'est pas de prendre des mesures trop sévères contre le stationnement sur trottoir, un objectif clair est fixé : la création de places de stationnement alternatives et une meilleure gestion de l'espace public.
Dans l'ensemble, il est clair que le thème du stationnement sur trottoir continue de faire l'objet de vifs débats à Munich. Trouver l’équilibre entre les besoins des habitants, des usagers de la route et les réglementations de la ville sera un véritable défi. Reste à savoir comment la ville décidera finalement.